Me Cheick Sako : « un des avocats de l’UFDG a été condamné pour escroquerie et a fait la prison »
Lors d’une conférence de presse qu’il animée lundi 23 mai 2016 dans son département, le ministre de la Justice, Me Cheick Sako, a dit avoir été traîné dans la boue par des hommes politiques, notamment le président du groupe parlementaire libéral démocrate, le Dr Fodé Oussou Fofana. Mais parmi toutes ces attaques, c’est celle d’un des avocats de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG), que Me Sako n’a pas pu digérer. C’est pourquoi, lui aussi, il s’est mis à enquêter sur le passé de cet avocat dont il a tu le nom.
« […] J’ai fait l’objet d’attaques également ignobles de certains avocats de l’UFDG que je ne citerai pas, notamment il y a un, qui m’a traité de tous les noms d’oiseau. C’est la règle du jeu. Ce n’est pas du tout grave. Mais comme je suis ministre de la République, quand je vois quelqu’un qui m’attaque de façon factuelle, je me renseigne quand même un peu sur la personne. Et quand j’apprends qu’un des trois avocats, vous chercherez le nom si vous le souhaitez, a été condamné pour escroquerie dans ce pays, a même fait un séjour en prison, je suis étonné qu’un parti d’opposition s’attache les services d’une personne comme ça. On est en république, encore une fois. On est en train de construire un Etat de droit dans ce pays. Dans n’importe quel pays du monde, d’Afrique, quand un avocat a été condamné pour escroquerie et a fait la prison, il est radié complètement du barreau. »
Ce soi disant ministre est nul et incompetent.
Je demande au President Alpha Conde’ de virer ce monsieur de son gouvernement.
Il ne travaille pas et ne vaut absolument rien.
Francement Monsieur Sacko avec tout le respect que je vous dois, tu devrais demissionner . Depuis quand un ministre de la justice doit repliquer à un avocat? Depuis quand un minstre de la justice doit prendre position contre un parti politique ? Un nimistre de la justice ne doit pas être juge et doit considerer toutes les personnes morales ou physiques devant la loi.
Pauvre Guinée