Scandale au stade de Radès. Espérance de Tunis/Horoya 3-1: l’arbitrage africain mis à l’index, la CAF doit sévir (Par Ibrahima Diallo)

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C’est un véritable cauchemar que l’arbitre soudanais Mutaz Abdelbasset a fait subir au Horoya AC en match aller des 16è de finale de la ligue africaine des champions au stade olympique de Radès, à Tunis. Match qu’il a dirigé exclusivement contre le Horoya AC.
Il n’a jamais laissé le club Guinéen évoluer à sa guise, avec des coups de sifflets intempestifs. Malgré cet handicap, les deux formations iront à la pause avec un but partout.
C’est à la reprise que le gâchis aura lieu, fermant les yeux sur des fautes manifestes, le Horoya AC jouera longtemps sans même bénéficier d’une pénalité sur une balle arrêtée.
Il est vrai qu’on a jamais vu le Horoya AC pratiquer un système de jeu comme celui mis en place par son coach, cela aura été une faute majeure commise par l’entraîneur Victor Zvunka.
Système inhabituel de la formation championne de Guinée qui était tout sauf son allure véritable.
Le Horoya AC méconnaissable dans cette attitude n’avait pas la plénitude de ses moyens dans cette tactique adoptée.
C’était étrange et que les rouges et blancs étaient autres qu’eux-mêmes, voire l’ombre d’eux-mêmes.
Est-ce une méforme du champion de Guinée? Sûrement, le match retour du 19 mars à Conakry nous le dira.
Cependant, le but marqué à l’extérieur aura son pesant d’or au cas où le Horoya AC dans ses installations, avec le soutien de son public, marquerait deux buts synonymes de qualification.
Mais rien ne prouve que les Tunisiens de l’Espérance l’entendront de cette oreille.
C’est aux Guinéens de se sentir fouettés dans leur amour propre. Si ce cas arrivait, ce serait un autre Horoya AC qu’on verra à Conakry. Sachant parfaitement qu’aller en phase de poule rehausserait l’indice du football guinéen avec plusieurs avantages.
En tout, c’est la vision du Président Antonio Souaré, la cour des grands n’est plus loin du Horoya AC. C’est aux joueurs et à Victor Zvunka de se battre pour faire de cette vision une réalité.
Le mal du football Africain étant le maillon sportif, la commission des arbitres de la CAF devra tout faire pour sanctionner les hommes en noir de piètre valeur à l’image Mutaz Abdelbasset du Soudan qui ternissent le visage de notre football qui veut cependant progresser comme les autres.

 

Par Ibrahima Diallo, DG de Liberté Fm

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3 commentaires
  1. Verite dit

    Voilà encore un article ridicule de la part de ce scribouillard sans talent et sans envergure. Du grand n’importe quoi ! Il bavarde sans jamais démontrer qu’il y a bel et bien eu scandale. Absolument rien, juste un commentaire soporifique pour noyer sa frustration. Il critique la tactique mise en place par Victor Zvunka sans rien proposer parce qu’il n’en a pas les moyens. Tout le monde n’est pas entraîneur de foot, un métier qui exige un apprentissage sérieux. Depuis quand ce journaliste qui n’a jamais tapé dans un ballon connaît le football ? Juste du blabla, sans queue ni tête pour se donner de la consistance et impressionner que lui même. Et comme il fallait s’y attendre, il jette sa traditionnelle couronne de fleurs à Antonio Souaré (le vrai but de cet article sans queue ni tête). Mais dis donc Ibrahima, tu ne t’es pas relu ? Ton niveau d’écriture est vraiment affligeant. En tout cas moi, sur la video que j’ai vue, les trois buts de l’Espérance sont tout à fait valables. Aussi, il est curieux de voir, en tout cas dans le championnat guinéen, qu’un certain Salifou Super V, certes revanchard et qui n’a rien d’un saint, dénonce exactement les mêmes arbitres qui, cette fois-ci, pencheraient en faveur des Rouges et Blancs… devant les autres équipes. Evidemment, pour rester dans les compétitions africaines, les mauvaises langues pointeraient du doigt un match hallucinant joué la saison dernière entre le Horoya AC et Zesco United (Zambie) où le public du stade du 28 septembre a eu sa dose de penaltys imaginaires. Aujourd’hui, au cas où Monsieur Diallo aurait raison, il devrait savoir que c’est malheureusement ce qui se passe quand on tente par tous les moyens de fausser les règles du jeu. Et dans ces conditions, le football devient un cirque insipide à ne pas montrer aux gamins. Moooorrrr !

  2. Camara dit

    Le horoya doit sévir contre son gardien qui est l’auteur de 2 buts sur 3.
    Monsieur Diallo,éviter d’être un journaliste alimentaire et d’intoxiquer les lecteurs.
    L’arbitre a été excellent.
    Continuez et bientôt vous perdrez votre crédibilité.

  3. pecos dit

    J’ai suivi ce match en direct sur la télévision Tunisienne. J’avoue que le gardien du Horoya n’était pas vraiment à la hauteur surtout concernant le premier but.En plus, concernant le système de jeu du Horoya, je suis d’accord avec le journaliste car Horoya n’a fait que défendre pendant les 90 mn.Mais bon, je trouve qu’il vaudrait mieux perdre sur score de 3 buts à 1 que de perdre sur un score de 2 buts à 0.

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