Ah, ces nombreuses femmes qui espionnaient lors des deux guerres mondiales (vidéo)

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De nombreuses femmes ont marqué l’histoire des conflits mondiaux pour leur rôle secret et discret, exercé au contact de l’ennemi au péril de leur vie. Loin de l’image glamour des espionnes magnifiées par les grandes fictions du 7e art, toutes ont laissé une trace dans l’Histoire, à l’image de Mata Hari, dont on célèbre ce 15 octobre 2017 le 100e anniversaire de la mort. Retour non-exhaustif sur les grandes figures féminines de la résistance, de l’espionnage et du contre-espionnage des conflits de 14-18 et 40-45.

Mata Hari, l’ensorceleuse devenue espionne

Danseuse, aventurière et espionne, Matha Hari tombait il y a cent ans jour pour jour sous les balles de l’armée française, condamnée à mort pour espionnage et haute trahison. Jusqu’à cette fin tragique à 41 ans, celle qui est née aux Pays-Bas sous le nom de Margaretha Geertruida Zelle, avait réuni autour de sa personne une fascination jusqu’alors encore inconnue.

Considérée comme la « Madonna » de l’époque, Mata Hari est la première à jouer avec l’imaginaire des hommes du Paris libertin de la Belle-Epoque en exécutant des numéros de danses inspirées de sa vie aux Indes Néerlandaises et qui firent sa renommée.

Courtisane, prostituée, elle côtoie les riches et les puissants d’un monde au bord de l’implosion. Engagée par la France pour espionner le Haut commandement allemand en Belgique, elle est arrêtée par les services secrets français qui l’accuse de collaborer avec l’ennemi sous le code H-21, un nom utilisé pour tenter de séduire un militaire germanique en janvier 1917.

H-21
L’interception par l’armée française d’un message radio du militaire allemand à Berlin décrivant les activités de H-21, conduit à son arrestation le 13 février 1917. Malgré une enquête sommaire, un bref procès et ses piètres performances d’indic’, l’ancienne idole des Folies Bergère est exécutée le 15 octobre 1917 sans que les doutes sur sa culpabilité ne soient levés.

Depuis lors, certains estiment que l’armée française, engluée dans une guerre statique et victime d’importantes mutineries, a fait de Mata Hari un bouc émissaire. Un siècle plus tard, le mystère demeure. Un siècle plus tard, elle incarne toujours le symbole dramatico-romantique de l’espionnage en temps de guerre… Lire la suite de l’article sur 7sur7 en cliquant ici

 

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