L’an 1 de l’assassinat de Mohamed Koula Diallo: les journalistes réclament toujours justice
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5 février 2016-5 février 2017. Cela fait exactement un an que le journaliste du site d’informations générales guinee7.com, a été froidement assassiné pendant qu’il faisait un reportage au siège de l’Union des Forces Démocratiques de Guinée (UFDG). A cette triste occasion, des journalistes ont organisé ce lundi 6 février, une marche pacifique de protestation contre le retard dans ce dossier au niveau de la justice guinéenne. C’était en présence de plusieurs Hommes de médias, d’hommes politiques comme le vice-président de l’UFDG, Bah Oury, le secrétaire exécutif de l’UFR, Baidy Aribot et le chanteur reggaeman, Elie Kamano.
Du siège de la Haute Autorité de la Communication (HAC) jusqu’en face du ministère d’Etat à la Justice en passant par le Haut Commandement de la Gendarmerie Nationale, du minstère de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation et du rond point du Port Autonome de Conakry, les marcheurs ont scandé des slogans comme : « Justice pour Koula Diallo ; Halte aux violences faites aux journalistes ; Un mort de plus, un mort de trop. Nous réclamons justice… ».
Arrivés à la rentrée principale aux environs de 12 heures du département en charge de la justice, les marcheurs ont, par la voix de leur porte, Mame Fatoumata Diallo rappelé qu’à sa 68ème session, en 2013, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution A/RES/68/163, qui a proclamé le 2 novembre journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes.
« Les circonstances de la mort d’El hadj Mohamed Koula Diallo ont eu l’effet d’un électrochoc dont l’onde a traversé toute l’opinion publique guinéenne et même au-delà. Les journalistes individuellement et à travers leurs différentes associations, se sont mobilisés, pour dire haut et fort trop c’est trop. Et depuis, l’on peut se féliciter de la mobilisation et de la solidarité qui ont caractérisé leurs actions. Cela doit continuer et la pression ne doit pas être relâchée. Il faut que justice soit rendue », dira entre autres Mame Fatoumata Diallo, avant d’ajouter :
« Nous réitérons notre appel envers la justice pour que tout soit mis en œuvre pour faire toute la lumière sur cet assassinat et pour que les coupables soient punis à la hauteur de leur forfaiture. Nous comptons sur la collaboration des institutions compétentes en la matière et nous continuons à faire confiance à la justice, pour la fin de l’impunité », conclut-elle.
Pour sa part, le vice-président de l’UFDG, Bah Oury a réaffirmé tout son soutien à la presse guinéenne en ces termes : « Avec cette mobilisation d’aujourd’hui et l’appel que vous venez de lancer en tant que collectif de journalistes pour réclamer la vérité pour Mohamed Koula Diallo, je pense que c’est une grande avancée et je pense que les autorités judiciaires s’auront que la société civile guinéenne n’est pas passive. Surtout lorsque la liberté d’expression, la démocratie et la violence physique l’emportent sur i soit en danger…. ».
De son côté, l’artiste Elie Kamano a mentionné avec insistance qu’il faudrait que lumière soit faite rapidement sur cet assassinat de Koula Diallo. « Avec la permission des organisateurs, je voudrais qu’on entreprenne d’autres initiatives allant dans le sens de la pression qu’on pourra mettre sur autorités pour que la justice soit rapidement faite. Si on se limite à ça, il n’aura pas de justice dans ce pays… ».
Très ému de la forte mobilisation, le patron du site guinee7.com et ancien employeur de Koula Diallo, Ibrahima Sory Traoré a remercié et félicité l’ensemble des journalistes pour cette grandiose mobilisation. Il a en outre invité ces collègues journalistes à se souvenir de Koula Diallo. Pour lui, la salle de conférence de la Maison de la Presse qui porte le nom de Mohamed Koula Diallo doit être évoquée dans les comptes rendus des cérémonies qui se tiennent de ce côté.
Par Youssouf Keita
+224 666 48 71 30
Regarde moi ces hypocrites qui se disent journalistes.
Pourquoi est ce que vous etes laches comme ca?
Qu’est ce que vous avez a faire a aller en promenade dans tous ces lieux?
Le journaliste a ete assassine’ a l’ufdg. Le coupable est connu la bas.
Pourquoi est ce que vous n’allez pas la bas?
Si vous allez faire un sit in ou une greve de la faim a duree’ indeterminee’ devant le siege de l’ufdg,des centaines de journalistes. Chaque jour vous criez « justice pour notre confrere tue’ par l’ufdg », « tant que les Fode Oussou et ce loup ne nous donnent pas le coupable,on ne quittera pas ici », en mettant des hauts parleurs partout pour que toute l’Afrique vous entende,vous verrez si justice ne sera pas rendue.
Au lieu de ces « operations coups de poing » vous etes la a faire des discours hypocrites et ennuyeux.
Allez au diable. Vous tuez ce journaliste une 2eme fois. Merde a ces laches.
@Sylla. ces journalists que tu traits d’hypocrite connaissent bien les lois mieux que toi. En te lisant on sent meme ta haine mais tu peux pourrir débout personne ne sentira ton odeur tellement que tu es infiment zero. Fodé Oussou est bien sa peau et ne se reproche de rien mais quant a ton mentor Bah oury qui ne sait plus sur laquelle de ses narines il ya plus de rhumes peut continuer à errer. Sur ce point je félicite Alpha le grimpeur qui l’a roulé dans la farine. Il comprendra que la politique n’est pas l’mateurisme.
En attenadant tu peux appeler les jounalistes à faire la grève de faim ils moureront un à un. Le seul coupable c’est Bah oury. Dis leur de crier afin qu,ils soient entendu de la Guinée à Cap Town.
Je compte sur toi pauvre haineux..
Diallo Soul