Lu dans la presse// des agents supposés appartenir à l'armée guinéenne font irruption dans un village sénégalais, saccagent une école, frappent un maçon et torturent un enseignant
Ils prévoient de déposer un rapport aux autorités. Selon les témoignages recueillis sur place par le journal de tels incidents sont monnaie courante dans cette zone aurifère que la Guinée conteste au Sénégal. Il y a quelques jours, informent les mêmes sources, des soldats guinéens auraient tabassé des commerçants sénégalais et emporté leurs marchandises.
Il faut arrêter ces mensonges.
En vérité ce sont les miliciens de l’ufdg déguisés en « soldats » de l’Armée Guinéenne qui commettent ces bêtises dans l’objectif de provoquer une guerre entre la Guinée et le pays frère du Sénégal.
C’est peine perdue. La Guinée et le Sénegal ont une communauté de destin.
C’est pourquoi ces miliciens se fatiguent.
Ils sont éparpillés dans les villages et hameaux environnant. Il faut les rechercher et les arréter tout de suite.
A bas le parti ethnique Ufdg.
Non aux prédateurs.
Toi sylla tu n’a pas honte de mentir comme une gamine c’est dommage si L’ufdg et parti éthnique dit moi les rpgiste sont des qu’elle éthnique épui d’ailleurs moi je rentre même pas dans tes piège éthnique car tu manque des arguments sinon comment peut- tu accusé L’ufdg de telles sortes si on voulait pas là paix dans ce pays ont allez vous suivre en 2010 pour brûler c’est beau pays mais nous savons toujours que personne n’est gagnent dans la guerre tout le monde sont des perdant c’est pour ce là ont à accepter votre vole du pouvoir de 2010 à 2015 mais il faut être heureu contre c’est proches pour pouvoir nous accusé de tels sorte d’accusation vous avez choisi là politique de mensonge et là division contre la Guinée mais Dieu vous payerras un jour car là Guinée à besoin de tout les 4région pour ces développer et non une seule région comme ce régime actuelle vive L’ufdg et sont président vive la jeunesse conscient àbas les hypocrite qui n’est veulent que confisqué le pouvoir
Camara Diallo,
Je ne t’ecoute pas.
Tu la fermes.