Malnutrition : des acteurs renforcent leurs capacités pour doter la Guinée d’un plan multisectoriel de lutte contre ce fléau

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Dans le cadre de la mise en œuvre du plan multisectoriel de lutte contre la malnutrition en Guinée, le conseil national des organisations de la société civile guinéennes (CNOSCG) a organisé ce lundi 7 octobre 2019, un atelier pour renforcer les capacités des acteurs de la nutrition.

Ce projet est financé par un réseau multi acteurs, composé de la société civile, du gouvernement du système des nations unies et du secteur privé.

« Ce projet est financé par le réseau des organisations de la société civile, des donateurs et du gouvernement, du système des nations unies et du secteur privé qui œuvrent dans la promotion de la nutrition au niveau international. Ce réseau a été mis en place par l’organisation des nations unies. En Guinée, cette organisation a accepté d’accompagner la société civile guinéenne en finançant un projet qui doit contribuer à la promotion de la nutrition », a expliqué le chef du projet, le Dr Facély Camara.

Pour le président du conseil national des organisations de la société guinéenne (CNOSG) dont la structure a été choisie pour faire une mobilisation sociale au compte de ce projet, le projet vise à doter de la Guinée un plan stratégique dans le domaine de la promotion des bonnes pratiques alimentaires.

« C’est un atelier de partage et renforcement de capacité des acteurs en nutrition, surtout en communication et plaidoyer dans le cadre de la mise en œuvre du plan multisectoriel de lutte contre la mal nutrition. Le contexte, c’est que la Guinée se trouve dans la zone de l’insécurité alimentaire. Mais également le taux de malnutrition chronique dépasse les 30%. C’est ainsi que le les partenaires ont décidé d’appuyé la Guinée à se doter d’un programme national multisectoriel de lutte contre la malnutrition (…) Ce n’est pas parce que les aliments manquent en Guinée mais c’est parce que nous n’avons pas de bonnes habitudes alimentaires pour diversifier et bien utiliser ces aliments. Pour répondre aux besoins nutritionnels surtout de l’enfant et de la femme en sainte. Donc notre travail va consister à aider ces groupements à être des leaders dans le domaine de la promotion des bonnes pratiques alimentaires », a dit le Dr Dansa Kourouma.

A signaler que plusieurs acteurs issus de plusieurs structures différentes participent à cet atelier dont des acteurs de la société civile, de plusieurs départements ministériels mais aussi de la presse.

Thierno Sadou Diallo

+224 626 65 65 39

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