CNSS : l’ambassadeur belge Delphine Perremans chez Malick Sankhon
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Le directeur général de la caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), Malick Sankhon a reçu ce jeudi l’ambassadeur du royaume de Belgique en Guinée, Delphine Perremans, dans les locaux de sa direction.
Cette visite de la diplomate Belge a pour but de s’enquérir de l’état de fonctionnement et des réalisations faites par la caisse nationale de sécurité sociale.
Après avoir visité le centre diagnostic de la CNSS, en compagnie du DG de l’institution, l’ambassadeur Belge, Delphine Perremans, a déclaré : « Initialement, c’est l’initiative du directeur général (Malick Sankhon) que je remercie. Parce qu’effectivement c’est une visite très instructive. Donc on a l’occasion de visiter plusieurs salles équipées de matériels de dernier cri. Mais évidemment, il n’y a pas que le matériel qu’on importe, quand on parle de diagnostic médical ; il y a aussi les ressources humaines. En discutant avec le personnel ici, j’ai pu me rendre compte vraiment que les deux conditions sont réunies et qu’il y a un service de qualité qui est offert à la caisse ici ».
Parlant des projets futurs avec la CNSS, la diplomate Belge de préciser : « Je ne peux pas m’engager à ce stade-ci. On a un système de sécurité qui est ancien et qui constitue un modèle. Donc on va voir dans quelle mesure, des échanges d’expertises peuvent être mis en place, maintenant qu’on a été sollicité, on va étudier la question ».
De son Côté, le DG de la CNSS, Malick Sankhon s’est réjoui de la visite de la diplomate belge.
« Nous sommes très heureux de cette visite. Nous voulons montrer à l’extérieur ce que la caisse nationale de sécurité est en train de faire ».
De par cette visite, ça nous permet aussi de nouer des partenariats surtout avec des institutions de la Belgique. Donc, c’est un modèle pour nous. Et aujourd’hui, je suis très heureux que Son Excellence madame l’ambassadeur vient voir et qu’elle sache qu’en Guinée, il est aujourd’hui possible de faire de très bons diagnostics. Donc nous attendons plus tard les accompagnements, que nous allons solliciter. Et je crois que d’autres pays vont suivre dans les jours à venir ».
Elisa Camara
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