Depuis l’arrivée des renforts cet après-midi du mercredi, 20 février, dans la préfecture de Dabola, » toute la ville est hermétiquement quadrillée par des agents des services de sécurité mobilisés pour la circonstance. Les lieux publics notamment, les rues, bars-café, terrains de football, marché central sont vides depuis 14 heures TU. Tout le monde est enfermé chez soi de peur d’être raflé… »
Dabola est en proie à de manifestations violentes pour réclamer plus d’eau et d’électricité dans la ville.
Mamadouba Camara