Après la mise en place d’un groupe de facilitateurs dans un premier arrêté, le premier ministre de la transition a dans un second arrêté désigné les trois facilitateurs du cadre de dialogue inclusif.
Il s’agit des anciennes ministres Docteur Makalé Traoré, Hadja Aïcha Bah et Madame Guilao Joséphine Léno.
Dans son premier arrêté, Bernard Goumou indique que ces personnalités été choisies en fonction de leur moralité, de leur neutralité et de leur expertise.
Le premier ministre souligne que ces trois personnalités auront pour rôles de : présider les plénières ; modérer les discussions ; faciliter la bonne communication entre les parties prenantes ; rapprocher les positions des parties prenantes ; veiller au respect des modalités pratiques du dialogue ; œuvrer pour l’atteinte des objectifs escomptés par le dialogue.
Dans son premier arrêté, le premier ministre souligne que les facilitatrices lui rendront régulièrement compte après chaque plénière de l’évolution du dialogue et seront assistées chacune par deux rapporteurs.
Sadjo Bah
au-delà de toute hypocrisie, il faut faire comprendre au colonel que l’autorité qu’il s’est fait acquérir sur le pays n’est pas légitime, s’il s’était accoutumé à une domination sans résistance dans l’armée, la nation, est autre chose.
il continue à se créer des ennemis depuis sa prise de pouvoir alors qu’il était soutenu par tout le peuple.
ceux qu’ils combattent aujourd’hui auraient pu être ces meilleurs alliés, c’est vraiment incompréhensible ce manque d’esprit.
la situation du pays va s’aggraver du jour au lendemain si jamais cette junte féminine n’arrive pas à réconcilier l’exécutif et le monde politique.
DOUMBOUYA doit lâcher le lest et offrir la liberté aux anciens dignitaires, il faut que cessent tous ces outrages contre nos personnalités , c’est le prix à payer pour la réussite de cette transition