La Cellule de Communication de la PCUD défie le chef de l’Etat de ‘’publier les sms qu’il attribue à Abdouramane Sano’’ (communiqué)
Ce dimanche 24 Mars 2019, le Président de la République M. Alpha CONDE a porté des accusations grossières à l’encontre du Président de la PCUD au siège de son parti RPC arc-en-ciel.
Au nombre de ses accusations, M. Alpha CONDE déclare que Abdouramane SANO lui a envoyé des sms pour l’aider à avoir de l’argent.
Nous tenons à démentir et condamner cette accusation gratuite et infondée.
Par ailleurs, nous lançons un défi au président de la République de publier ces sms qu’il attribue à Abdouramane SANO.
Que le président de la République soit convaincu d’une chose, Abdouramane SANO reste et demeure imperturbable dans son combat pour la démocratie, la bonne gouvernance et le respect des dispositions de la Constitution guinéenne.
La Cellule de Communication de la PCUD
Voilà ce que ça donne cette façon populiste de gouverner et de gérer les affaires d’Etat dans un pays:
-n’importe quel quidam sorti de nulle part se croit légitime de parler et d’agir au nom du nom, sans aucun mandat;
-un président au lieu de sévir contre la subversion et autres agents supposés subversifs en toute conséquence, il se complaît dans une approche purement anarchique à telle enseigne que le peuple médusé,assiste à une sorte de jeu de ping-pong entre un président de la République (représentant légitime du peuple) et des bandes de « NO BODY » ;
-à force d’annonces à satiété et suivies rarement d’actions concrètes,le président finira par crever totalement le stock d’arguments à l’arche de tous ceux qui pensent et qui croient sincèrement qu’il est le mieux faisant pour réduire considérablement la pauvreté et le mieux acte à conduire ce pays à un point d’émergence sans égalé dans toute l’histoire de notre pays;
Donc monsieur le président, un chef normal n’est pas acteur à entretenir des polémiques populistes qui n’honorent pas son image, mais il agit plutôt pour mettre fin définitivement à des anormalités dans son pays!
Par conséquent, si monsieur Sano fut un moment donné, un agent subversif à une déstabilisation de votre régime, pourquoi avoir passé l’éponge sur de telle gravité juste à l’issue d’un banal « pardon » présenté ?
Bref, je ne comprends pas bien le b-a-ba de votre façon de gérer certaines affaires de l’Etat!
Car un banal « pardon » peut solder des actions de vols peut-être? des actions pénales aussi gravissimes que la subversion?
“La tolérance ne devrait être qu’un état transitoire. Elle doit mener au respect. Tolérer c’est offenser.”