Rez Gardi, né de parents kurdes dans un pauvre camp de réfugiés, travaille dur et obtient un diplôme de droit à Harvard. Elle raconte à la BBC comment elle a tourné le dos à une carrière juridique lucrative aux États-Unis pour se battre pour que justice soit rendu aux femmes Yazidi, enlevées, vendues et violées par des militants de Daesh dans son pays natal, l’Irak.
Un salaire de départ de 200 000 dollars. C’est l’offre d’emploi d’un grand cabinet d’avocats que Rez Gardi a refusée. Elle avait une cause à défendre.
« Dans un océan de tentations de gros salaires et d’emplois dans les entreprises prestigieuses, je devais constamment me rappeler que j’ai un but plus important qu’un style de vie luxueux », déclare Rez Gardi à la BBC.
« J’ai fait mon droit pour une raison précise… Je voulais comprendre le pouvoir du droit pour créer un changement positif », ajoute-t-elle.
Rez a rejoint le combat pour la justice des femmes qui ont été systématiquement enlevées, vendues et violées par le groupe État islamique (IS) (Daesh), ce qui a une signification personnelle pour elle.
« Mes parents ont fui cette région et m’ont emmenée à l’autre bout du monde, mais je suis quand même retournée là où ils ont commencé ». (…)
lire la suite de l’article sur BCC en cliquant ici