Tir sur le véhicule de Dalein ? ‘’personne ne peut nous enlever à l’esprit que cela n’est pas prémédité, planifié et organisé…’’ (Ousmane Gaoual)
Dans la journée d’hier mardi 23 octobre 2018 à Conakry, des échauffourées avaient éclaté entre manifestants et les forces de sécurité, suite à une manifestation organisée par l’opposition républicaine visant à protester contre une violation de l’accord conclu entre le gouvernement et l’opposition concernant l’installation des élus locaux.
Alors qu’il se rendait à cette marche, le véhicule du chef de file de l’opposition républicaine aurait été atteint d’un projectile, avortant ainsi la marche prévue. Interrogé ce mercredi 24 octobre 2018, par la Radio Espace FM dans son emission ‘’Les Grandes Gueules », le coordinateur par intérim de la cellule de communication de l’Union des Forces Démocratiques de Guinée, Ousmane Gaoual Diallo confie que ce qui est arrivé à Conakry ce mardi aurait été orchestré par le gouvernement.
‘’Hier matin, sur la table de Monsieur Antonio Souaré (président de la FEGUIFOOT ndlr), il y avait M. Sankhon Malick de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale au restaurant le Damier à 7h. Quand il (Malick) s’est levé il a dit : “Aujourd’hui quand ils sortent, nous allons nous débarrasser d’eux définitivement, nous allons en finir ». Hier, il disait ça à haute voix au damier, dans la salle de repas’’, a dit honorable Ousmane Gaoual Diallo.
Poursuivant, le coordinateur par intérim de la cellule de communication a ajouté : Vous pensez que tout ce qui est arrivé ne s’était pas donc planifié à un certain niveau de l’Etat ? Je ne dis pas que Malick Sankhon est forcement dedans, mais il l’a dit devant des gens et c’était sur table de M. Antonio Souaré. Cela veut dire que quand des gens sortent comme ça et parlent de la violence qui va arriver et celle-ci arrive, personne ne peut nous enlever à l’esprit que cela n’est pas prémédité, planifié et organisé par certaines personnes qui bénéficient de l’assurance de l’Etat’’, a-t-il accusé.
Maciré Soriba Camara
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Ce n’est pas la première fois que ce gueux s’en prenne au président de la CNSS qui ne veut pas sentir son prédateur de mentor.
Il veut coute que coute jeter Sankhon à la vindicte populaire sans reussite.
Qu’est ce que la justice attend pour jeter ce malade mental en prison pour diffamation pour au moins 20 ans?