Visiblement, Conakry est décidé à pincer Human Rights Watch. Dans une correspondance -dont Mediaguinee détient copie-, le Ministère de la Sécurité et de la protection civile a demandé à l’ONG internationale d’apporter toutes les preuves de ses allégations contre la Guinée contenues dans son communiqué de presse paru sur son site le 29 avril dernier sur les tueries dans le pays.
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